Cette fois-ci j’ai fait l’inverse : j’ai d’abord écrit en Français, puis en Anglais. Ça s’est révélé plus ludique finalement. La recherche des expressions, les équivalents, quand on les trouve sont parfois surprenants. « Être dans ses petits souliers » devient « faire 5 pouces de haut ».
Cette méthode est à l’usage plus rapide : j’ai plus de texte et j’ai mis le même temps. En Français j’écris plus vite et j’utilise le temps qu’il me reste pour chercher les expressions que je ne connais pas en Anglais. Du coup, le lendemain, je n’ai plus qu’à passer à la version anglaise qui s’écrit alors assez facilement.
Je ne peux pas dire que je sois quand même satisfaite du résultat final, mais j’ai moins souffert que la semaine dernière 🙂